Genève pour la paix - Page d'accueil  

Genève: un lieu pour la paix




  Publications
  Bulletin
  Comité
  Statuts
  Adhésion
  Activités 2000
  Activités 2001
  Activités 2002
  Activités 2003
  Activités 2004
  Henry Dunant
  Elie Ducommun
  »  Prospectus du colloque
  Ludwig Quidde
  "Ouvrage" par Louis Pedrosa
  Colloque historique
  Album commémoratif
  Itinéraire de la paix
  Médaille



Survol de sa vie  
REPÈRES BIO-BIBLIOGRAPHIQUES

par Roger Durand[1]

Comme aucune biographie ne retrace la vie et l’œuvre d’Elie Ducommun, il a paru utile de rassembler ici une série de dates et d’événements qui concernent cette personnalité aux facettes si variées. L’essentiel de ces données provient des articles du présent volume et des études citées dans la bibliographie.

Période genevoise : 1833-1866

Le 19 février 1833, Elie naît à la rue de Coutance 87.

–  Son père : Jules Ducommun-“dit-Tinnon”, originaire du Locle, est né à La Chaux-de-Fonds horloger (fabricant de cadrans), il s’installe à Genève. Né en 1806 à La Chaux-de-Fonds, il meurt le 12 mai 1852, à Genève.[2]

–  Sa mère : Marianne Octavie Matthey.

–  Son oncle paternel, Lucien, meurt prématurément à La Chaux-de-Fonds, laissant dix orphelins. L’une d’entre eux, Octavie Adèle , est recueillie par son oncle Jules, à Genève. Elle deviendra l’épouse d’Elie.

–  Son frère aîné : Jules-César (ou César) naît à Genève, le 28 juillet 1829. Botaniste réputé, il exerce le métier de traduc­teur à la chancellerie fédérale, à Berne, de 1873 à sa mort, le 22 novembre 1892.

–  Son second frère Charles, naît à Genève, le 6 avril 1831. Exerçant le métier de tapissier, il demande un passeport pour l’Italie, le 24 janvier 1873. Puis il disparaît.

Octavie Adèle et Elie Ducommun entourent leur petite-fille Aline
debout : leur fille Adèle Louise, leur fils Jules Elie
et son épouse Maria Alpina

–  Milieu : républicain et coopératiste, radical fervent du fau­bourg Saint-Gervais en famille, on joue des comédies dans lesquelles excelle le jeune Elie.

Il accomplit ses études au Collège.

Entre 1847-1850, il fréquente l’Académie, en tant qu’externe en sciences et en lettres. En avril 1848, il passe une série d’examens mais, semble-t-il, ne poursuit pas plus avant sa carrière académique. 

Le 3 mai 1848, Elie devient citoyen de Genève, du fait que son père prête serment comme nouveau citoyen genevois devant le Conseil d’Etat de Genève. Cette naturalisation a été acceptée l’année précédente, semble-t-il.

De 1850 à 1853, il est précepteur des quatre fils du baron de Brunau [Brünow], à Auerbach, près de Plauen, en Saxe.

En 1853, il rentre à Genève, en raison du décès de son père. Il débute alors dans l’enseignement, comme sous-régent à l’école lancastérienne de Saint-Antoine, pendant deux ans.

Dès 1853, il s’engage dans le parti radical, sous la houlette de James Fazy.

En 1854, il est incorporé dans l’Elite, “chasseurs de gauche”, bataillon 20, puis 125.

De 1855 à 1862, il dirige la Revue de Genève , qui s’intitule La nation suisse dès 1861.

Le 8 avril 1856, il est nommé vice-chancelier de la Répu­blique. “Homme de lettres”, il habite “224 Terrassiers”. Proche de James Fazy, il rencontre Eugène Sue, le général Klapka, Carl Vogt, Ferdinand Lassalle, la princesse Solms …

En 1856, il est initié à la loge Fidélité et prudence ou La prudence qui deviendra une des parties constitutives de la nouvelle loge du Temple unique , l’année suivante. En 1865, cette loge disparaît et la La prudence reprend corps.

Le 22 août 1857, il épouse à Plainpalais sa cousine germaine Octavie Adèle Ducommun qui est la fille de Lucien Ducom­mun-dit-Tinnon (frère de Jules) et de Sophie Zélinde née Quartier ou Jean Cartier elle est née le 26 avril 1835 à La Chaux-de-Fonds et meurt le 10 janvier 1925, à Berne. Le ménage a deux enfants :

Jules Elie : naît le 17 août 1859 à Genève il meurt à Berne, le 21 novembre 1938. Il est botaniste, pharmacien. Le 21 octobre 1887, à Berne, il épouse Maria Alpina Merz, appelée Aline (1867-1921). Le ménage a deux filles : Aline, et Jeanne Elise qui fera souche (actuellement familles Schreck et Brauen).

Adèle Louise est née le 3 janvier 1865. Elle épouse Auguste Henze. Elle meurt en 1944 (?), sans descendance.

Elu le 15 novembre 1858, réélu le 12 novembre 1860, il siège au Grand Conseil jusqu’en novembre 1862, dans la députation radicale. Il est réélu le 13 novembre 1864 jusqu’en novembre 1866.

En 1860, il soutient une équipée militaro-navale vers Thonon au moment où les Savoyards sont appelés à plébisciter leur rattachement au Second Empire !

En 1861, il devient vénérable (ou président) de la loge Le temple unique .

Le 28 novembre 1862, il est nommé chancelier d’Etat, fonction qu’il exerce en fait depuis le 5 août. Il habite rue des Alpes 14, jusqu’en 1867.

Le 20 novembre 1865, il démissionne, à la suite d’une défaite du parti radical à l’élection du Conseil d’Etat. Il prend, semble-t-il, ses distances vis-à-vis de James Fazy.

Période délémontaise : 1865-1868

En décembre 1865, il part à Delémont diriger, jusqu’en 1868, un nouveau journal radical : Le progrès (dont le numéro spécimen paraît le 20 décembre 1865). Plus tard, ce périodique s’appelle Le démocrate.

Le 12 juin 1867, il est nommé traducteur au Conseil natio­nal, fonction qu’il exerce jusqu’au 30 juin 1873.

En 1867, il participe à la préparation et aux travaux du Congrès de la paix qui se tient au Bâtiment électoral de Genève. Il figure parmi les fondateurs de la Ligue interna­tionale de la paix et la liberté, dont il devient vice-président.

Première période bernoise : 1868-1872

Dès janvier 1868, il assume la version française du journal Les Etats-Unis d’Europe, édité à Berne.

D’août 1868 à 1878, il siège au Grand Conseil de Berne.

Le 2 avril 1869, il fonde la Banque populaire suisse qui s’inspire des associations mutuelles de crédit déjà actives en Allemagne, avec le colonel Joachim Feiss et le futur conseiller d’Etat zurichois Johannes Stössel. Il siège au conseil d’adminis­tration de 1869 à 1873, puis de 1886 à 1892.

En 1869, il reçoit le brevet de secrétaire d’état-major. Pendant la guerre franco-allemande de 1870-1871, il est secré­taire francophone d’état-major, avec rang de lieutenant, auprès du général Herzog.

En 1871, il lance, avec Charles-Auguste Schnéeganz, le journal L’Helvétie qui cesse de paraître l’année suivante.

Dès 1873, il est un membre actif de la loge bernoise Zur Hoffnung , dont il est le vénérable de 1882 à 1884.

Période biennoise : 1872-1877

Du 10 juin 1872 au 28 avril 1877, il réside à Bienne.

C’est à l’initiative de Pierre Jolissaint et d’Eduard Marti qu’il s’y établit, en tant que secrétaire général de la compagnie ferroviaire du “Jura-Berne”. Il fera sa carrière professionnelle dans les chemins de fer jusqu’en 1903 voyez aussi les années 1884 et 1890.

Dès son arrivée, il fonde le Cercle démocratique romand. Il est traducteur à l’Assemblée communale. Il collabore au Journal du Jura .

De 1874 à 1877, il siège au Grand Conseil de Ville (Stadtrat) de Bienne qui remplace alors l’Assemblée communale.

Seconde période bernoise : 1877-1906

En 1877, le “Jura-Berne” ayant déplacé son siège à Berne, il s’établit définitivement dans la Ville fédérale.

Le 29 août 1875, il participe à la fondation du Club welsche, à Berne, dont le président est son propre frère : Jules-César.

En 1879, il est secrétaire de l’Union commerciale des admi­nistrateurs des chemins de fer suisses, qu’il préside en 1880-1886 et 1903-1904.

En 1879, il fonde l’Association romande de Berne.

Dès 1880 et jusqu’à sa mort, il participe activement aux travaux de la Société de géographie de Berne.

En 1881, il écrit un poème pour les victimes d’un ébou­lement à Elm, canton de Glaris.

En 1884, le “Jura-Berne-Lucerne” succède au “Jura-Berne”.

En 1886, il fonde le Cercle romand de Berne, qu’il préside jusqu’en 1889.

En 1887, il est nommé membre correspondant de la section littéraire de l’Institut national genevois.

En 1889, il participe activement au Congrès de la paix.

En 1890, le “Jura-Simplon” succède au “Jura-Berne-Lucerne”.

De 1890 à 1895, il est élu grand maître de la Grande loge suisse Alpina, après avoir gravi les échelons de la loge Zur Hoffnung à Berne, dès 1873.

Fin 1891, il est nommé secrétaire général du Bureau interna­tional de la paix, institué par le troisième Congrès international de la paix, le 12 novembre, à Rome. Dès 1892, le BIP siégera à Berne, en un lieu au nom paradoxal : Kanonenweg 12. Béné­vole de 1891 à 1902, Ducommun exerce cette fonction à plein temps, de 1903 jusqu’à son décès.

Dès 1895, il fait paraître la Correspondance bi-mensuelle du BIP. Il soutient alors activement la création du Musée de la paix et de la guerre, à Lucerne.

En 1901, le Conseil fédéral lui confie la présidence de la fondation Marie Berset-Muller, à l’intention des instituteurs suisses qui, au terme d’une activité professionnelle à l’étranger, rentrent en Suisse sans ressources.

Le 10 décembre 1902, il reçoit le prix Nobel de la paix qu’il partage avec le Jurassien bernois Albert Gobat.

En 1903, il devient secrétaire général du BIP et cesse alors ses fonctions de secrétaire général du “Jura-Simplon”.

Le 16 mai 1904, il se rend à Oslo, alors appelée Christiania, pour recevoir le prix Nobel.

Le 6 décembre 1906, à 18 h 30, il décède à Berne. Le diman­che 9 décembre, il est enseveli au cimetière de Bremgarten, à Berne, après un service au temple réformé du Saint-Esprit.

Cet embryon de bibliographie des écrits d’Elie Ducommun devra assurément être complété et corrigé. D’autant plus qu’il n’inclut guère les nombreux articles parus dans plusieurs pério­diques comme la Revue de Genève, La nation suisse, Les Etats-Unis d’Europe et la Correspondance bi-mensuelledu Bureau international de la paix où Elie Ducommun assuma une grand partie rédactionnelle.

[1] Président de l’Association «Genève : un lieu pour la paix».

[2] L’auteur remercie Charles Pochon et Pierre Flückiger pour leurs recherches persévérantes sur la famille Ducommun et sur la période bernoise du grand homme.


Textes signés par Elie Ducommun  

Textes signés par Elie Ducommun

Le vieux protestant, chanson
Genève, 1853.

Neuchâtel devant les traités et conventions de 1815
Genève, 1856.

Mémoire en réponse à la question :

–    Quelles sont les industries nouvelles ou renouvelées qui pourraient réussir à Genève, sans l’aide d’aucune subvention gouvernementale ?

–    Quels sont, en particulier, les genres d’industrie pour lesquels on pourrait utiliser les eaux du Rhône, de l’Arve et du Lac ?

–    Indiquer sur quoi se fondent les possibilités de réussite.

Genève, Imprimerie et lithographie Vaney, 1861, 39 p.

Chansons politiques
Genève, 1860, 32 p.

La révélation de Moïse.
Etudes rationnelles sur l’Exode par un citoyen de Genève

Genève, Imprimerie Blanchard, 1863, 134 p.

Calvin et les Genevois ou la vérité sur Calvin par un citoyen de Genève
Genève, Imprimerie Blanchard, 1864, 55 p.

La crise horlogère ,ses causes et les moyens d’y remédier ,
ainsi que les nouvelles industries à introduire dans le Jura
ouvrage collectif du “Cercle romand” de Bienne,
rédigé par Elie Ducommun, Bienne, 1876.

Album jurassien, poésie et prose
1878.

La vie à meilleur marché. Résumé des conférences tenues à Bienne
Bienne, Imprimerie W. Gassmann. 1879, 32 p.

Elm. Hier – Aujourd’hui – Demain
Narration de la catastrophe du 11 septembre 1881
Berne, Imprimerie Henri Koerber, septembre 1881, 15 p.

La femme à travers les siècles .
Extrait de la Revue alsacienne de 1883
Paris, Berger-Levrault, 1883, 13 p.

Les premières larmes de Matthias Schlitt
Paris, Berger-Levrault & C ie , 1884, 24 p.

Sourires : poésies
Bienne, Gassmann, 1887.

«Philippe Corsat (Fragment d’une étude biographique
et critique sur les chansonniers.)»
Le semeur , n o 20, 25 septembre 1888, p. 390-391 
n o 21, 10 octobre 1888, p. 415-416.

Résumé d’un discours prononcé à Grenoble le 27 avril 1890
Genève, Ligue internationale de la paix et de la liberté, Imprimerie Rivera & Dubois, 1890, 28 p.

Skizze einer am 29. April 1890 in Grenoble gehaltenen Rede
Biel, Buchdruckerei Albert Schüler, 28 p.

Réponse aux attaques dirigées contre la Franc-Maçonnerie suisse
Berne, Imprimerie Michel & Büchler, 1892, 16 p.

Discours sur l’œuvre de la paix prononcé à Genève le 23 mai 1893
Berne, Imprimerie Michel & Büchler, 1893, 24 p.

Vortrag über das Friedenswerk , gehalten in Genf , den 23. Mai 1893
Bern, Buchdruckerei Michel & Büchler, 1893, 24 p.

Aux sociétés de la paix. Questionnaire sur la question d’une trève
Berne, 1894, 6 p.

Rapport sur les réponses des sociétés de la paix au questionnaire
relatif à l’idée d’une trève entre les nations européennes
Berne, 1894, 9 p.

«L’œuvre de la paix»
Revue socialiste , 15 octobre et 15 novembre 1894.

«Das Friedenswerk»
Die Waffen nieder ! , 1894, p. 316-325.

«Les quatre premières années du Bureau international
de la paix»
Almanach de la paix , Paris, 1895, p. 74-76.

Le programme pratique des amis de la paix
Berne, 1895, 15 p.

«Résumé du discours du Gr.-Maître de l’Alpina, Fr. Elie Ducommun, à la réunion de l’Ascension à Yverdon,
le 23 mai 1895»
Alpina , 1895, n° 11, p. 82-83.

La guerre – La Croix Rouge – La paix. Strophes composées
pour le Concert de la Croix-Rouge
, le 12 décembre 1895
sl, Ligue internationale de la paix et de la liberté, 1895, 7 p.

Bureau international permanent de la paix. Souscription générale
pour l’œuvre pacifique

Copenhague [?], 1895 [?], 4 p.

Aux sociétés de la paix
Berne, 1896, 3 p.

Rapport sur une réforme des manuels scolaires au point de vue des idées pacifiques.
Berne, 10 septembre 1896, Bureau international de la paix, 5 p.

«Le Congrès de la paix»
Revue socialiste , 1896, p. 714-723.

«Le Congrès universel de la paix et la Conférence interparlementaire à Budapest»
La Conférence interparlementaire , 1896, p. 519-521.

Un fil conducteur à travers les délibérations des Congrès annuels
de la paix

Berne, 15 décembre 1897, 10 p.

Aux sociétés de la paix
Berne, 1897, 2 p.

Monsieur le rédacteur de la «Neue Zürcher Zeitung» , à Zurich
Berne, 1897, 4 p.

Le programme pratique des amis de la paix
Berne, Imprimerie Steiger & C ie , 1897, 16 p.

«Le testament d’Alfred Nobel»
La Conférence interparlementaire , 1897, p. 553-555.

«Les sociétés de la paix»
La Conférence interparlementaire , 1897, p. 598-600.

«Le huitième Congrès de la paix, à Hambourg»
Revue socialiste , 1897, p. 713-720.

Précis historique du mouvement en faveur de la paix
Berne, Imprimerie Graphique Henri Boneff, 1899, 31 p.

Rôle de la guerre et de la paix dans les progrès de la civilisation.
Conférence donnée à Lausanne le 3 décembre 1898
Berne, Section bernoise de la Société suisse de la paix,
Berne, Imprimerie Graphique Henri Boneff, 1899, 20 p.

Krieg und Frieden im Hinblick auf die Kulturentwicklung.
Vortrag gehalten in Lausanne den 3.
Dezember 1898
Bern, H. Boneff, 1899, 16 p.

Pour la paix. Résumé du discours prononcé par Elie Ducommun
dans l’assemblée publique du 12 février 1900 au temple de la Fusterie
à Genève

slnd, [1900], 2 p.

Le I X e Congrès universel de la paix tenu à Paris
du 30 septembre au 5 octobre 1900.
Rapport à la Société de la paix de La Chaux-de-Fonds

La Chaux-de-Fonds, Imprimerie Courvoisier, 1900, 15 p.

Guerre ou paix ? Dialogues
Berne, 1 er février 1901, 8 p.

Krieg oder Friede . Zwei Dialoge . Uebersetzt von Kutter
Bern, den 1. Februar 1901, 8 p.

Oorlog of vrede ? Samenspraken. Naar het fransch
[Pays-Bas], 1902, Gratis verspreid door den Wereldband voor Vrede (V.V.V.), (distribué gratuitement par le Cercle mondial pour la paix), 24 p.

Bureau international permanent de la paix.
Exécution des résolutions du X I e Congrès

Berne, 1902, 3 p.

Bureau international permanent de la paix. Rapport sur l’exécution
des résolutions des congrès de la paix relatives à la propagande

Berne, 1903, 36 p.

Bureau international permanent de la paix. Ordre du jour définitif
du XI I e Congrès universel de la paix

Berne, 1903, 3 p.

Mémoire sur les questions de Macédoine et d’Arménie
Berne, Imprimerie Feuz, 1904, 16 p.

«Ferdinand Lassalle, souvenirs intimes»
La revue du dimanche , Lausanne, 17 avril 1904, n° 16, p. 121-124.

Extrême-Orient . Traités et Conventions
Berne, Buechler et C ie , 1905, 12 p.

L’œuvre pacifiste. Résumé d’écrits sur la paix
Berne, Büchler, 1905, 16 p.

Rapport sur les événements de l’année 1904/1905
ayant trait à la paix et à la guerre

Berne, 1905, 3 p.

«L’inutilité des guerres démontrée par l’histoire.
Discours prononcé à Christiania le 16 mai 1904»
Les prix Nobel en 1902 , Stockholm, Imprimerie royale, 1905,
p. 1-10.

La fundamentoj de l’ pacifismo
Paris, Presa Esperantista Societo, 1906, 31 p.

Les conséquences qu’aurait une guerre européenne
Berne, Bureau international permanent de la paix,
Imprimerie Feuz, 1906, 15 p.

>The Probable Consequences of a European War. Authorised Translation
London , International Arbitration and Peace Association, 1906, 24 p.

Delle consequenze d’una futura guerra europea
Milano, Società internazionale per la pace, 1906, 32 p.

Die Folgen eines europäischen Krieges
Bern, Buchdruckerei Feuz, 14 p.

Derniers sourires. Poésies précédées d’une notice biographique
Berne, Büchler, 1908, 92 p.

Sérieux appel aux femmes de toute nation pour obtenir leur puissant concours en vue d’amener “La paix sur la terre et la bienveillance
envers les hommes”
Channy, sd, 12 p.

Fervora alvoko al la ciulanda virinaro por ilia multepova helpo
pri la disvastigo de “Paco sur tero kaj al la homaro bonvolo”

London, sd, 8 p., (traduction en esperanto de Sérieux appel ).

Rapport du Bureau international de la paix
Berne, douze parutions, entre 1893 et 1903, de 7 à 17 p.

Bibliographie succincte

Irwin Abrams, The Nobel Peace Prize and the Laureates ,
An illustrated biographical history 1901-2001 ,
USA, Science History Publications, 2001, XVII-350 p.,
p. 49-51, ISBN 0-88135-388-4.

Ruedi Brassel-Moser, «Elie Ducommun-der unentbehrliche Vermittler», Der Friedens-Nobelpreis von 1901-1904 , C. F. von Weizsächer (éd.), Zug, 1987, Edition Pacis, p. 136-147.

Verdiana Grossi, Le pacifisme européen 1889-1914 , Bruxelles, Bruylant, 1994, XV-512 p.

John Kaufmann, Hommage à Elie Ducommun , secrétaire général du Bureau international de la paix. Discours prononcé à la 3 e fête maçonnique de la paix à Genève, Genève, Jarrys, 1907,
20 p.

Victor Monnier, «Notes et documents pour servir à la biographie d’Elie Ducommun», Revue européenne des sciences sociales , tome XXII, 1984, n° 67, p. 139-150, Librairie Droz, Genève.

«Notice biographique», introduction aux Derniers sourires
d’Elie Ducommun, p. 7-29, op. cit., signée “Deux amis” [Virgile Rossel et Emile Bessire].

Fanny Praechter- Haaf, Elie Ducommun , slnd, 2 p.

Hodgson Pratt, Proposed testimonial to Elie Ducommun
London, 1901, 4 p.

Hodgston Pratt , Services rendus à la cause de la paix
par Elie Ducommun
, sl, 1901, 4 p.

Øivind Stenersen, Ivar Libaek, Asle Sveen
The Nobel Peace Prize , One Hundred Years for Peace ,
Laureates 1901-2000 , >J. W. Cappelens Forlag, 2001, 304 p.,
p. 30-31, ISBN 82-02-18935-7.

P. C. Teisier, Elie Ducommun (avec Portrait)
Roma, Galleria Biografica di Roma, P. Rebecca, tiré à part
d’ I nostri contemporanei , 1904, 11 p.

Otto Zuber, «Br. Elie Ducommun (19. 2. 1833 – 6. 12. 1906)», Alpina , no 11, 1995, p. 275-281.

« Le Fr. Elie Ducommun», Alpina , no 25, 15 décembre 1906,
p. 203-208.


(C) Genève un lieu pour la paix & Nicolas Durand, 2000-2004